pour passer l'hiver...
profondeur sombre des forêtsavec ces sapins enchâlés de neigeravins aux blanchâtres finitudeset ces rivières gelées semblablesà de grands chemins pâlesmontagnes transparentes au couchantma solitude habitée du paysageton souvenir en moiles collines descendues au coeurje me sens femme et vallée lointaineet nuit à venir(Marie Uguay,
Signe et rumeur, 1976)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire